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Nietzsche La Volonté de puissance

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Ce cours d’Eric Blondel aborde la Volonté de puissance par le commentaire de deux extraits de Nietzsche :

Par-delà bien et mal § 230

Ce texte théorise et problématise la « volonté de puissance », bien que l’expression « volonté de puissance » ne soit quasiment pas mentionnée.
Il s’agit d’un texte sur la volonté de l’esprit, de l’esprit comme volonté. Nietzsche introduit ainsi sa conception :

1°: l’esprit n’est qu’un instrument, la volonté le gouverne ;

2°: il n’y a pas de volonté de connaître, il n’y a pas d’amour de la connaissance. Il n’existe pas de tendance portant vers la connaissance ou d’amour de la connaissance qui seraient innées. Il n’y a pas de principe de la connaissance dans l’esprit humain. La connaissance est donc une manifestation de la volonté de puissance.

Nietzsche contre wagner : « La psychologue prend la parole »

Dans ce livre, Nietzsche reprend un certain nombre de textes préalablement publiés, y compris des textes récents. Nietzsche les reprend, les retravaille pour faire une sorte de recueil de ses œuvres sur des sujets qui tournent autour de Wagner et de la musique.

Le Cas Wagner, quant à lui, concerne plus particulièrement le personnage de Wagner et sa musique : chez Nietzsche, la musique est une préoccupation centrale. Dans le texte qui nous intéresse, la question de l’art est fondamentale. Le Cas Wagner voit le jour début 1888. Nietzsche contre Wagner est le dernier des textes préparés par Nietzsche, également en 1888. Mais Nietzsche n’en verra pas la publication.

« Le psychologue prend la parole » est l’un des derniers chapitres de Nietzsche contre Wagner. Il s’agit de l’un des textes les plus caractéristiques de Nietzsche dans la mesure où il y donne à voir sa pensée dans sa totalité. Toutes sortes de thèmes sont abordés sur le fond de la question principielle de la civilisation. La généalogie et la psychologie servent d’instruments d’analyse de la civilisation.