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Science et méthode
La logique et l'épistémologie, La scienceJe réunis ici diverses études qui se rapportent plus ou moins directement à des questions de méthodologie scientifique. La méthode scientifique consiste à observer et à expérimenter ; si le savant disposait d’un temps infini, il n’y aurait qu’à lui dire : « Regardez et regardez bien » ; mais, comme il n’a pas le temps de tout regarder et […]
Pourquoi y a t-il plusieurs sciences?
La logique et l'épistémologie, La scienceLa multiplicité et la diversité des sciences sont un fait persistant depuis leur naissance, encore accentué par la spécialisation caractéristique de ces savoirs, grandissante au cours de leur histoire. Ce fait n’en est pas moins problématique dès lors que cette diversité se traduit par une rivalité et un conflit entre les explications scientifiques proposées pour […]
De la possibilité d’une logique universelle
La logique et l'épistémologie, WittgensteinLa lecture des Carnets de 1914-1916 de Wittgenstein montre que la genèse du Tractatus Logico-Philosophicus (noté ultérieurement TLP) est à chercher avant tout dans une réflexion insistante et critique sur le fondement de la logique de Russell (les Principia écrits en collaboration avec Whitehead venaient de paraître) très inspirée par la lecture des écrits de […]
Sélection de travaux sur la logique et l’épistémologie
La logique et l'épistémologie, La sciencehttp://classiques.uqac.ca/classiques/Peirce_Charles_Sanders/logique_de_la_science/logique_de_la_science.html http://tomlr.free.fr/Math%E9matiques/Fichiers%20Claude/Les%20Mathematiques%20Et%20La%20Logique.pdf https://images.math.cnrs.fr/IMG/mp3/DernieresPensees-Chap4.mp3 https://fr.wikisource.org/wiki/La_Valeur_de_la_Science/Chapitre_premier._L’intuition_et_la_logique_en_mathématiques https://www.cairn.info/revue-les-etudes-philosophiques-2011-2-page-153.htm http://mapageweb.umontreal.ca/lepagef/dept/cahiers/Seymour_LOGIQUE.pdf Cet article se présente comme une réflexion philosophique sur la logique, au sens de l’examen des problèmes posés par le langage logique. https://www.cairn.info/revue-du-mauss-2016-1-page-65.htm# https://intellectica.org/SiteArchives/archives/n36_37/18.Michel%20Bitbol.pdf http://www.afscet.asso.fr/modelisation-quantique/2018-2019/Michel-Bitbol-afscet-22mai2018.pdf https://www.cairn.info/revue-d-histoire-des-sciences-2007-1-page-167.htm https://www.canal-u.tv/video/universite_de_tous_les_savoirs/quand_la_chimie_s_appelait_alchimie_bernard_joly.7041
Y a t-il une rupture épistémologique dans l’histoire de la chimie?
La logique et l'épistémologieQue la science procède d’une rupture d’avec le sens commun, et en particulier avec la sensation, c’est ce qui est admis depuis longtemps puisque Platon déjà, construit sur cette idée le dialogue entre Socrate et Théétète. Que cette rupture épistémologique se manifeste dans l’histoire de telle sorte que chaque science apparaisse comme une nouveauté et […]
Méthodes de démonstration en arithmétique
La logique et l'épistémologie, La scienceEn la genèse d’une science, il n’est pas de commencement absolu. Comme le dit si bien, en parlant de l’astronomie, Pierre Duhem, « Si haut que l’on remonte la lignée des pensées qui ont préparé, suggéré, annoncé cette doctrine (une doctrine scientifique), on parvient toujours à des opinions qui, à leur tour, ont été préparées, […]
La grammaire de la représentation selon Renouvier
La représentation, RenouvierOn présentera ici un commentaire de l’étude que Charles Renouvier (1815-1903) consacre à la représentation dans le premier des Essais de critique générale. On partira ici de la seconde édition du Premier Essai où Renouvier précise et amplifie son analyse1. L’histoire de la philosophie range habituellement Renouvier parmi les représentants du néo-criticisme français, dénomination commode […]
Épictète Entretiens II, V, 4-17
Epictète, La morale, Les stoïciensAu début du passage, Épictète rappelle ce qui est pour chacun l’affaire (ergon) principale de la vie » – le seuil de la sagesse – : la distinction entre entre ce qui dépend et ce qui ne dépend pas de nous.
Ce qui dépend de nous : « la volonté » (proairesis) ou, comme le dit I, XXII, 10, « la volonté et les actes volontaires » (proairesis kai panta ta proairetika), c’est-à-dire non pas un vouloir qui reste purement intérieur (et qui ne serait alors qu’un souhait ou une velléité) mais un vouloir agissant dans le monde.
Ce qui ne dépend pas de nous : « les choses extérieures », c’est-à-dire selon I, XXII, 10, 858 « le corps et ses parties, les biens, les parents, les frères, les enfants, la patrie, et en général tous les membres de notre communauté » – mais aussi : le résultat de nos actes.
Cette distinction permet seule d’avoir une compréhension juste de ce que signifient bien et mal : il n’y a de bien et de mal que « dans les choses miennes » (en tois emois) [I, XXIX, 4, 873 : « C’est une loi instituée par Dieu ; il dit : “si tu veux un bien, prends le en toi même” »]. Le bien et le mal ne sont que dans la disposition du vouloir.
Y a-t-il une vérité en art ?
L'arthttps://philosophie.ac-versailles.fr/IMG/pdf/verite_en_art_-2-2.pdfhttps://philosophie.ac-versailles.fr/IMG/pdf/verite_en_art_-2-2.pdf
La conception spéculative de la vérité selon Hegel: organicité, systématicité, historicité
Hegel, La véritéAu XXe siècle Martial Gueroult a été un des rares à réfléchir à sa pratique d’historien de la philosophie, à penser au sens de la démarche qui consiste à reconstruire une philosophie, à en dégager la vérité sous forme d’une possibilité de pensée réalisée dans un système particulier. Gueroult souhaitait publier ses réflexions dans un ouvrage en deux parties intitulé Dianoématique, dont la deuxième partie a été publiée avant la première. La première partie de la Dianoématique s’intitule Histoire de l’histoire de la philosophie ; la deuxième partie, Philosophie de l’histoire de la philosophie, contient les bases théoriques des conditions transcendantales d’une histoire de la philosophie. En raison de la méfiance du grand historien à l’égard de l’idéalisme hégélien accusé de prendre des libertés à l’égard de la réalité, on comprend l’articulation de l’ensemble où la partie historique précède la partie réflexive sur l’histoire. On peut parler ici d’une métaphilosophie (philosophie… de la philosophie) si par là on entend une analyse des conditions de possibilité de l’histoire de la philosophie qui devient condition de la philosophie elle-même et de la légitimité de ses opérations discursives ayant pour objet de produire une connaissance vraie. Cette métaphilosophie présuppose une historicité de la pensée, qu’il s’agit de convertir en nécessité idéelle sans abolir la contingence initiale. La philosophie de (l’histoire de) la philosophie part des philosophies qui se sont effectivement produites dans l’histoire afin de régresser aux conditions de toute philosophie.