Pour offrir les meilleures expériences, nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations des appareils. Le fait de consentir à ces technologies nous permettra de traiter des données telles que le comportement de navigation ou les ID uniques sur ce site. Le fait de ne pas consentir ou de retirer son consentement peut avoir un effet négatif sur certaines caractéristiques et fonctions.
L’accès ou le stockage technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques. Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
L’accès ou le stockage technique est nécessaire pour créer des profils d’internautes afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
La nouvelle théorie institutionnelle de l’art
L'arthttps://journals.openedition.org/traces/4266?lang=en
Philosophie analytique et définition de l’art
L'arthttps://www.persee.fr/doc/phlou_0035-3841_1985_num_83_58_6356
La métaphysique comme logique spéculative
La métaphysiqueAprès le coup sévère porté par la philosophie kantienne à l’encontre de la métaphysique rationnelle, le propos hégélien semble au moins relever du scrupule philosophique sinon d’une volonté de restauration. Hegel a clairement souhaité, en effet, situer historiquement son entreprise logique comme un remplacement de la métaphysique telle que Wolff, à la suite de Leibniz, en avait présenté et diffusé le système.
La « logique objective », qui comprend la « logique de l’Être » et la « logique de l’Essence » « prend, nous dit Hegel, tout simplement la place de la métaphysique d’autrefois» . Le texte de l’édition de 1817 de l’Encyclopédie des sciences philosophiques sonne par rapport à cette page citée comme une confirmation, étendant explicitement le champ du remplacement jusqu’à la « logique subjective » (la « Logique du concept comme concept »). C’est ainsi la logique hégélienne dans sa totalité, c’est-à-dire la «philosophie spéculative (qui) prend la place de ce qui était en d’autre temps nommé métaphysique dont on traitait comme d’une science séparée».
Le temps a t-il une réalité ?
Le tempsLa question peut paraître absurde tant nous avons d’expressions pour signifier le temps, explicitement : longtemps, en même temps que…, au temps de…, ou implicitement : hier, aujourd’hui, demain, etc. Quand nous les utilisons, nous avons tout sauf l’impression de parler pour ne rien dire, et nous savons que ce n’est pas le cas lorsque par exemple nous fixons un rendez-vous.
Nous avons donc certainement une pensée du temps. Or la question ne porte pas sur l’existence de cette pensée, mais sur la réalité de son objet. Car nous admettons aussi que tout ce que nous pensons n’existe pas réellement pour autant. Nous pourrions par exemple demander : le rêve a-t-il une réalité ? et nous répondrions sans peine que le rêve existe comme état d’un certain sujet, mais que ce qu’il rêve n’a aucune réalité distincte de la sienne. Le contenu du rêve n’existe pas comme réalité, mais seulement comme image d’une réalité.
On peut donc se demander s’il n’en va pas du temps comme du rêve, car le cas du temps apparaît en fait plus problématique que celui du rêve.
L’art aux limites de la morale
L'art, La moraleLe rapport entre art et morale pose le problème des limites de l’art et de la morale, et ainsi des limites entre minimalisme et maximalisme éthiques. L’art a toujours été le lieu d’une résistance contre le maximalisme moral. Y a-t-il une exception « esthétique » à la morale ? L’art est-il par delà le bien et le mal ? Mais peut-être l’anti-moralisme de l’art est-il une exception dans la longue histoire de l’art, une position récente et même régionale. Notre interrogation ici ne porte pas sur l’art en tant que tel, mais sur la morale à partir de l’art. Si nous admettons que la morale n’a rien à faire dans l’art, jusqu’où sommes-nous prêts à revendiquer cette position ? On ne proposera pas de réponse définitive, mais l’art, et l’art contemporain notamment peut être un bon moyen de tester nos intuitions et nos croyances morales à leurs limites. La suite se présente donc comme une variation sur art et morale.
Documents pour l’étude de la notion « la théorie » (1)
La logique et l'épistémologiePierre Duhem : La théorie physique —son objet, sa structure https://epistemologia0910.files.wordpress.com/2010/01/duhem-pierre-la-the9orie-physique-son-objet-sa-structure1.pdf Jean-Bernard Zuber et alii : Phénomènes physiques, théories et modèles http://man21.free.fr/web/cnrs02_96.pdf Thomas Boyer et Anouk Barberousse : Interpréter une théorie physique https://journals.openedition.org/methodos/3118 Anouk Barberousse: Que peut-on conclure de l’accord entre modèles et données empiriques ? Alexandre Guay : Les métaphysiques des lois de la […]
Henri Maldiney et Gilles Deleuze. La station rythmique de l’œuvre d’art
Deleuze, L'art, Maldineyhttp://www.henri-maldiney.org/sites/default/files/imce/_henri_maldiney_et_gilles_deleuze._la_station_rythmique_de_loeuvre_dart.pdf
Mémoire et « conscience continuée ». Une lecture de Locke sur l’identité personnelle
La personne, Lockehttp://www.philosophicalenquiries.com/numero3Hamou.pdf
Feuerbach et le passage du spéculatif au spéculaire
Feuerbach, La religion« Car l’homme a créé Dieu, du moins le Dieu auquel il croit, il l’a créé et ce n’est pas Dieu qui a créé l’homme (ce sont des vérités acquises aujourd’hui) ; l’homme a créé Dieu à son image et à sa ressemblance, agrandies jusqu’à ce que l’esprit humain ne pût concevoir de dimensions. » […]
Phénoménologie de la perception. Commentaire
La perception, Le corps, Merleau-Ponty, PhénoménologieMerleau-Ponty écrit dans un texte envoyé à Martial Guéroult au moment de sa candidature au Collège de France :
« Nous ne cessons pas de vivre dans le monde de la perception, mais nous le dépassons par la pensée critique, au point d’oublier la contribution qu’il apporte à notre idée du vrai […] »
« L’esprit qui perçoit est un esprit incarné et c’est l’enracinement de l’esprit dans son corps et dans son monde que nous avons cherché d’abord à établir, aussi bien contre les doctrines qui traitent la perception comme le simple résultat de l’action des choses extérieures sur notre corps, que contre celles qui insistent sur l’autonomie de la prise de conscience ».
La perception est, pour Merleau-Ponty, notre ouverture, notre initiation au monde et à l’être, elle est une lumière naturelle à laquelle le monde apparaît dans une sorte d’unité de l’être et du sens.
Cette unité de l’être et du sens est à la fois impérieuse, irrécusable, mais elle est aussi, dans le même temps, ouverte, présomptive, toujours en attente de sa confirmation : le monde, selon le mot de Malebranche, est un « ouvrage inachevé ». Et une vie humaine n’est peut-être rien d’autre que « l’acte même par lequel nous reprenons ce monde inachevé pour essayer de le totaliser et de le penser ».