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23 résultats de recherche pour :

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L’imagination chez Descartes et ses contemporains

Ce numéro des Cahiers philosophiques de Strasbourg rassemble les contributions des intervenants qui ont participé à un colloque sur le thème Image, imaginaire et imagination chez Descartes et ses contemporains, qui s’est tenu les 29 et 30 mars 2017 à l’Université de Strasbourg. Ce colloque a été organisé par Frédéric de Buzon et Jil Muller dans le cadre du […]

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Descartes et Hobbes

Descartes n’a jamais tu son mépris à l’égard des objections que Hobbes lui avait adressées sur ses Méditations à la demande du Père Mersenne. Son dédain s’affiche au sein même des réponses, où il n’hésite pas à se montrer agacé, mais il l’exprime plus directement à deux reprises dans sa correspondance avec Mersenne. Alors qu’il vient de […]

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Le problème de l’inconscient selon Descartes

Le probleme de l’inconscient selon Descartes Dès la première page de sa thèse de 1950, Geneviève Rodis- Lewis soulignait à propos de l’inconscient que « de ce terme privatif on ne saurait […] rien dire, à moins de succomber à la tentation de l’hypostasier comme un objet permanent, indépendamment de la connaissance que nous en […]

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L’éblouissement de l’esprit: sur la fin de la Méditation III

La fin de la Troisième Méditation présente un mouvement de pensée complexe. D’un seul geste, Descartes résume la seconde version de la preuve de Dieu par les effets (moi qui ai l’idée de Dieu, je tiens nécessairement mon existence de ce Dieu même dont j’ai l’idée) et pose les bases de la méditation suivante (ce Dieu dont j’ai l’idée, et qui nécessairement existe, étant souverainement parfait, il est évident, satis patet, qu’il ne peut être trompeur : il faudra donc chercher les causes de l’erreur ailleurs qu’en lui). Mais, en même temps qu’elle récapitule et annonce, cette fin de la Méditation marque un arrêt : c’est la fameuse station dans la contemplation de Dieu – laquelle, dans la construction savamment symétrique de ces Méditations entières, marque le point culminant d’une démarche ascendante, à partir de laquelle l’esprit pourra lentement redescendre vers les choses matérielles et vers l’usage des sens.

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Descartes, l’infini et l’autre homme

Je souhaiterais ici mettre à l’épreuve une intuition dont je ne me dissimule ni la difficulté ni la précarité L’objet de cette intuition sera la corrélation qu’on peut établir chez Descartes, entre la relation à l’infini et la relation à l’autre homme, ou plus précisément à un autre esprit.